La Théorie Neuro-Somato-Quantique (NSQ) est une approche intégrative qui combine les principes de la théorie polyvagale étendue, les lois biologiques de survie, les dynamiques de l’évolution cérébrale, le modèle de la spirale dynamique, le principe fondateur de l’ostéopathie étendu à toutes les sphères de l’Être et les concepts de la conscience intuitive extraneuronale et du paradigme de l’information (quantique) avec le Sens que l’être humain cherche à affiner pour incarner sa place dans l’univers. Voici une première formulation structurée de cette théorie :

Théorie Neuro-Somato-Quantique • NSQ®

A. Lois Biologiques de Survie

Nos comportements sont régis par des lois biologiques de survie sur plusieurs échelles imbriquées. Ces échelles correspondent à l’évolution du cerveau (reptilien, limbique et cortical), reflétant les différentes étapes de développement et les niveaux de la spirale dynamique.

B. Évolution du Cerveau et Spirale Dynamique

Les échelles de survie correspondent à l’évolution du cerveau :

• Cerveau reptilien : Survie personnelle.
• Cerveau limbique : Famille, clan, tribu.
• Cortex cérébral : Objectifs nationaux, sociétaux, environnementaux, planétaires, cosmiques.

Ces niveaux d’évolution sont intégrés dans les MEME de la spirale dynamique, représentant des étapes de développement allant de la survie de base à la conscience globale et cosmique.

C. Inévitabilité et Nécessité des Lois Biologiques

Il n’est ni possible de contourner ces lois, ni souhaitable, car chaque niveau d’évolution permet la stabilité et la cohérence des suivants. Chaque niveau joue un rôle essentiel dans la survie et l’évolution de l’espèce.

D. Interdépendance et Systémiques

Aucun système n’existe isolément. L’ensemble de l’univers, allant de l’infiniment petit à l’infiniment grand, fonctionne en interdépendance. Ces interactions créent des écosystèmes en fractales, s’articulant selon les lois systémiques d’appartenance, d’ordre, d’échange et d’équilibre. Ces lois régulent les interactions et influencent les causes locales et non-locales.

Elles expliquent pourquoi la volonté individuelle n’est pas souveraine face à ces dynamiques, n’en déplaise à l’être humain. Cette interdépendance souligne que chaque action, pensée, et émotion a des répercussions à différents niveaux de l’existence, influençant et étant influencée par le réseau complexe des relations universelles.

E. Importance de Réguler les Comportements de Survie Anciens

Lorsque des comportements de survie plus anciens (par exemple, le réflexe de survie lié à la peur du rejet) perturbent des niveaux plus récents (comme le besoin de se respecter dans une relation de travail), il est crucial de réguler ces comportements archaïques avant de travailler sur les niveaux logiques plus récents (émotionnel et conceptuel).

Tant que l’activation/inhibition reptilienne n’est pas levée, les comportements dits « toxiques » continueront de se manifester par nécessité biologique.

F. Équilibre Dynamique des Pulsions de Survie et de Vie

Les pulsions de survie expliquées par la théorie polyvagale (sympathique agressif/fuite & nerf vague ventral/dorsal) sont en équilibre dynamique avec les pulsions de vie émanant de nos nerfs parasympathiques sacrés.

Il convient donc d’élargir la théorie polyvagale pour mieux comprendre cet équilibre qui explique ainsi plus aisément des comportements extrêmes et historiques, tels que les viols systématiques perpétrés par les envahisseurs après avoir massacré les mâles autochtones.

G. Conditionnement des Réponses Émotionnelles

Les réponses émotionnelles sont conditionnées par l’apprentissage et l’environnement. Elles ne sont pas toujours rationnelles et ne peuvent le devenir que lorsque l’activation/inhibition reptilienne de survie inadaptée a été régulée.

H. Cortex Préfrontal et Justification des Comportements

Le cortex préfrontal cherche à donner du sens et à justifier nos comportements, même s’ils sont irrationnels et conflictuels, en utilisant des stratégies de déni, justification, marchandage, manipulation, etc.

I. Imbrications et Représentations Subjectives

Toutes ces imbrications façonnent nos images de nous-mêmes (avatars) et nos représentations du monde (paradigmes). Elles sont donc totalement illusoires, bien que partiellement justes, puisqu’elles constituent le pilier central de ce que nous appelons notre réalité. La somme de ceci régit nos états d’être, qui sont donc purement subjectifs.

J. Mouvements et Axes de Vie

La vie est mouvement, un principe cher à Andrew Taylor Still, fondateur de l’ostéopathie. Ce concept, maintes fois vérifié au sein des cabinets depuis plus d’un siècle, mérite une mise à jour pour en révéler toute la portée et la profondeur.

Il est indéniable qu’il n’y a pas de vie sans mouvement. L’altération du mouvement provoque des frictions excessives d’une part et des fixations d’autre part, ces deux phénomènes étant toujours liés. Au niveau corporel, cela se manifeste par des fibroses et des ankyloses; au niveau énergétique, par des vides et des excès; au niveau émotionnel, par des répressions et des hypersensibilités; au niveau psychique, par de l’apathie ou une surcharge mentale; et au niveau spirituel, par une perte de sens ou des illusions chimériques.

Ces mouvements peuvent être considérés comme des flux qui se croisent et se décroisent, maintenant ainsi l’homéostasie sur tous les plans. L’altération et la désynchronisation des rythmes sur un plan causent des perturbations sur les autres, et inversement. Tout est interconnecté.

Pour qu’il y ait mouvement, il doit exister un axe, un point fixe, même relatif et en mouvement lui-même, comme dans les fractales de Mandelbrot. Si cet axe est absent ou décalé, nous sommes désaxés, comme le décrit l’expression populaire pour quelqu’un de « tordu » physiquement, émotionnellement ou mentalement.

Ainsi, pour que la NSQ tende vers un état symbiotique, il faut des mouvements libres et fluides sur tous les plans autour d’axes physiques, émotionnels, psychiques et spirituels. Ces mouvements doivent permettre un déploiement intégral, respectant des rythmes de compression et d’expansion.

K. Conscience Primordiale (CIE) et consciences secondaires

Notre conscience pure et profonde (conscience primordiale) n’est pas altérée par ces paramètres (point fixe) et subsiste en dehors du corps. Elle est aussi appelée CIE (Conscience Intuitive Extraneuronale) et est atemporelle.

Elle constitue l’AXE autour duquel nous sommes capable de distinguer tous les mouvements qui s’opèrent au sein de nos consciences dites secondaires (sensations physiques, informations reptiliennes, perceptions vibratoires, émotionnelles, pensées, images, symboliques)

L. Conscience Analytique Cérébrale (CAC)

Notre conscience analytique cérébrale (CAC), couramment appelée conscience ou mental (mind), n’est qu’un sous-produit de la conscience primordiale, issu de l’interaction de celle-ci avec notre interface biologique corporelle.

M. Activation de la CIE pour Restaurer l’Équilibre

Il est plus facile de restaurer l’équilibre des différents niveaux biologiques de notre interface corporelle en activant notre CIE, car cela permet de désactiver les avatars et paradigmes erronés.

N. Application des Processus NSQ

Les processus NSQ prennent en compte l’ensemble de ces paramètres en respectant les lois de la neurophysiologie et de l’intrication de la trinité Conscience/Espace/Temps régissant le transfert d’informations dans les différentes dimensions de l’univers, afin d’offrir des voies de libération, résilience, harmonisation, reprogrammation et déploiement du potentiel, visant un état symbiotique sur tous les plans.

O. Méthodologie

Ces Process respectent un algorithme du Vivant que nous avons défini en générant des boucles itératives et imbriquées qui permettent d’explorer, de mettre en évidence et d’harmoniser les conflits issus des fragmentations sur tous les niveaux de l’Être avec sa réalité bioLogique.

Conclusion

La Théorie Neuro-Somato-Quantique propose une approche holistique et intégrative, prenant en compte les dimensions biologiques, neurophysiologiques, psychologiques et spirituelles de l’être humain. En combinant ces différentes perspectives, elle offre des outils et des concepts pour mieux comprendre et harmoniser nos comportements, émotions et états de conscience, en vue d’un épanouissement global et d’une connexion profonde avec notre véritable nature.

Oui, la neuro-somato-quantique est une approche prometteuse pour l’avenir. Les récentes découvertes en neurosciences et les avancées constantes réalisées par la physique quantique sont en plein essor et ont mis en évidence l’importance de l’interaction entre le corps, le cerveau et l’esprit pour la santé et le bien-être. La neuro-somato-quantique offre une approche holistique pour traiter les problèmes physiques, émotionnels et mentaux en utilisant des techniques efficaces et éprouvées pour améliorer l’équilibre et le bien-être. Bien que cette approche puisse manquer de preuves empiriques solides, elle a un grand potentiel pour améliorer la qualité de vie de nombreuses personnes à l’avenir. Avec la poursuite des recherches et des études, la neuro-somato-quantique pourrait devenir une approche de plus en plus reconnue et acceptée pour traiter les problèmes de santé physique, mentale et émotionnelle.

1. La NSQ intègre les métamorphoses jusque dans le corps, pour lui rendre sa stature, son allure et son envergure.
2. La NSQ permet de contourner et désamorcer les verrous de survie du système reptilien.
3. La NSQ utilise un algorithme dynamique qui intègre ses différents process ensemble dans un tout cohérent afin de suivre le « flow » du patient. Ce qui offre une infinité de possibilités par rapport à des procédures standardisées.
4. La NSQ intègre les découvertes des neurosciences, au fur et à mesure, dans ses process pour optimiser son efficacité.
5. La NSQ intègre le paradigme de la conscience quantique avec les espaces temps simultanés pour faciliter la reprogrammation du passé comme du futur.
6. La NSQ intègre les systémiques relationnelles sur différents niveaux pour aider chacun à retrouver sa juste place.
7. La NSQ met en lumière les « avatars » qui constituent la forteresse illusoire de l’égo. Elle joue et danse avec eux, pour nous permettre de s’en décoller et de les intégrer.
8. La NSQ transcende la vacuité (zone illusoire qui est souvent confondue avec la vraie nature) pour faire émerger l’Alaya qui est le véritable passage à traverser pour réaliser son l’Essence de l’Être.
9. La NSQ se fond parfaitement avec le Yoga, le Qi Gong, l’Ecstatic Dance, l’Hypnose, la MTC, la Kinésiologie, les Constellations familiales et beaucoup d’autres techniques, car elle n’est pas exclusive mais intégrative.
10. La NSQ est une approche directe, fluide et subtile qui permet de vivre la philosophie du Déploiement Intégral au quotidien.

Le développement personnel et le déploiement intégral sont deux approches différentes pour atteindre une vie épanouissante.

Le développement personnel se concentre souvent sur la croissance individuelle, l’amélioration de soi et l’atteinte d’objectifs personnels. Il met l’accent sur le développement des compétences, la confiance en soi et la réalisation de ses aspirations. C’est un cheminement important pour se connaître et se développer, mais il peut parfois être limité par des croyances et des schémas de pensée restrictifs.

Le déploiement intégral, quant à lui, va au-delà du développement personnel en intégrant une vision plus holistique de la vie. Il met l’accent sur la connexion avec notre essence profonde, notre être véritable, et sur l’alignement avec notre véritable potentiel. Il nous invite à transcender nos limites et à nous ouvrir à une conscience plus vaste.

Le déploiement intégral nous invite à embrasser notre unicité et à nous connecter à notre sagesse intérieure. Il nous encourage à cultiver la compassion, la gratitude et la paix intérieure. C’est un voyage profond qui nous permet de vivre pleinement et authentiquement, en harmonie avec nous-mêmes et avec le monde qui nous entoure.

En somme, le développement personnel est une étape importante sur le chemin du déploiement intégral, mais ce dernier va au-delà en nous invitant à nous connecter à notre essence véritable et à vivre une vie pleinement épanouissante.

La théorie orchestrée de la réduction objective (Orch-OR) est une hypothèse pertinente et révolutionnaire proposée par le physicien mathématicien Roger Penrose (prix Nobel) et l’anesthésiologue Stuart Hameroff. Cette théorie permet d’expliquer la conscience en intégrant la mécanique quantique dans la compréhension du fonctionnement du cerveau. Selon cette hypothèse, les microtubules dans les neurones du cerveau ne sont pas de simples structures de soutien, mais servent plutôt de canaux pour des processus quantiques qui pourraient être liés à la conscience.

La théorie Orch-OR suggère que la conscience émerge d’effets quantiques au sein de ces microtubules. Plus précisément, elle propose que des superpositions quantiques se forment dans les microtubules jusqu’à ce qu’elles atteignent un seuil (la « réduction objective ») qui provoque un événement conscient. Cette réduction serait « orchestrée » par des informations ou des contraintes dans le réseau neuronal.

Concrètement, qu’est-ce que cela apporte?

Il s’agit d’une révolution permettant enfin de passer de la vision matérialiste de la conscience limitant celle-ci à de simples influx électriques, à une dimension beaucoup plus vaste tel que les sages de toutes les traditions et de tous les temps l’enseignent. Cela apporte un modèle scientifique pour la reprogrammation du futur, à l’émancipation beaucoup plus aisée des conditionnements du passé et à l’alignement nécessaire avec l’interdépendance du vivant.

La Conscience Intuitive Extraneuronale, ou CIE, est une forme de conscience qui existe indépendamment du cerveau et du monde matériel. Cette notion a été officiellement reconnue pour la première fois le 15 décembre 2014, lors de la soutenance d’une thèse de doctorat à la faculté de médecine de Reims, sous la direction de François Lallier. Contrairement à l’idée traditionnelle qui situe la conscience uniquement dans le cerveau, la CIE suggère que notre conscience est plutôt comme un nuage d’information qui interagit avec notre cerveau, un peu comme un nuage électronique qui interagirait avec un ordinateur.

Ce concept explique diverses expériences mystérieuses, y compris ce que certaines personnes rapportent avoir vécu lors d’arrêts cardiaques. En résumé, la CIE est comme une source inépuisable d’informations universelles, reliant chaque individu à l’énergie spirituelle de l’univers tout entier. Elle est également compatible avec des phénomènes souvent considérés comme paranormaux, comme la médiumnité, la prémonition, la télépathie et d’autres formes de perception extrasensorielle.

Comment la CIE se distingue-t-elle de la conscience ordinaire ?

La CIE diffère de la conscience ordinaire, que nous pourrions appeler « Conscience Analytique Cérébrale » (CAC), de plusieurs façons significatives. Alors que la CAC filtre, traite et analyse les informations sensorielles en se basant sur des connaissances antérieures, la CIE donne accès à un « champ de conscience universel » contenant toutes les informations existantes. Des témoignages d’individus ayant vécu des Expériences de Mort Provisoire (EMP) suggèrent même un état d’omniscience lorsqu’ils sont dans cet état de conscience élargi.

La CAC est limitée par le temps et l’espace et s’active en fonction des stimuli immédiats. En revanche, la CIE semble exister hors du temps et de l’espace et est inhibée lorsque la CAC est active. En d’autres termes, notre cerveau agit comme un filtre qui bloque les informations de la CIE lorsque nous utilisons notre conscience analytique ordinaire.

En résumé, la CIE propose une perspective révolutionnaire sur la nature et les capacités de la conscience humaine, ouvrant la porte à de nouvelles compréhensions de phénomènes paranormaux et d’expériences transcendantales.

La Théorie de l’Information Intégrée (Integrated Information Theory, IIT) a été développée par le neuroscientifique Giulio Tononi (prix Nobel), et elle est également soutenue par le chercheur Christof Koch. Cette théorie vise à expliquer ce qu’est la conscience et comment elle peut être mesurée.

Fondements de l’IIT

Selon l’IIT, la conscience n’est pas une propriété exclusivement humaine ou même biologique. Elle est plutôt définie par deux éléments clés : la « différenciation » et « l’intégration ». « Différenciation » signifie que chaque expérience consciente est unique et se distingue des autres expériences, tandis que « l’intégration » signifie que cette expérience est unifiée et ne peut être décomposée en parties indépendantes.

Exemple Simple

Imaginons un réseau de lampes connectées les unes aux autres. Si chaque lampe est simplement allumée ou éteinte indépendamment des autres, il n’y a pas d’intégration d’information ; chaque lampe est un système en soi. En revanche, si l’état de chaque lampe dépend de l’état des lampes qui l’entourent, il y a une forme d’intégration d’information. Le système entier possède une qualité d’ensemble qui n’est pas simplement la somme des qualités individuelles de chaque lampe.

Implications dans le Nouveau Paradigme NSQ

Dans le nouveau paradigme NSQ qui intégre l’IIT avec les autres théories comme la Conscience Intuitive Extraneuronale (CIE) et la théorie Orch-OR, on peut envisager une conscience qui existe à différents niveaux et dans différentes formes à travers l’Univers. Cela peut inclure des réseaux neuronaux dans le cerveau humain, mais aussi des systèmes intégrés plus larges comme des écosystèmes ou même des réseaux sociaux.

1. **Compréhension des États Modifiés de Conscience** : La combinaison de ces théories donne des outils pour mieux comprendre les états modifiés de conscience, comme la méditation profonde ou les expériences mystiques.

2. **Approche Holistique de la Santé Mentale** : Cette vision intégrée pourrait encourager des traitements plus holistiques de la santé mentale, qui prendraient en compte à la fois les aspects neurologiques et « extraneuronaux » de la conscience.

3. **Technologie et Conscience**: Ce nouveau paradigme pourrait également ouvrir la porte à des questions sur la conscience dans des systèmes artificiels. À quel point un réseau neuronal artificiel doit-il être « intégré » pour être considéré comme conscient ?

4. **Éthique et Interconnexion**: Reconnaître que la conscience peut être plus largement distribuée remet en question nos conceptions éthiques sur ce qui est digne de considération morale, ce qui pourrait avoir un impact significatif sur des questions comme les droits des animaux, l’environnementalisme, et même les droits des intelligences artificielles.

En somme, l’IIT, lorsqu’elle est combinée avec des théories comme la CIE et la théorie Orch-OR, constitue la base d’un nouveau paradigme pour comprendre la conscience, avec des implications profondes pour la science, la philosophie, la technologie et l’éthique.